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El presidente del país, Mamady Dumbuya, ha dado estabilidad y buen gobierno al país
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Un an après le 5 septembre 2021 en Guinée Conakry
Hace ya un año, el 5 de septiembre de 2021, oficiales de las fuerzas de élite guineanas capturaron al presidente Alpha Condé, conquistaban la capital Conakry y «disolvían» las instituciones, en un golpe de Estado militar que sacó del poder a un veterano de la política africana que se encontraba cada vez más aislado.
El fin de más de diez años de gobierno de Condé provocó escenas de júbilo en varios puntos de la capital.
«Decidimos, después de detener al presidente, quien está con nosotros (…) suprimir la Constitución en vigor, disolver las instituciones y también al gobierno, así como el cierre de fronteras terrestres y aéreas», señaló uno de los implicados en una declaración que circuló en redes sociales.
Denunciando el «desbarajuste» gubernamental, el jefe de las fuerzas especiales, el teniente-coronel Mamady Dumbuya, envuelto en la bandera guineana, reiteró luego esta declaración ante la televisión nacional.
«Tenemos todo Conakry y estamos con todas las fuerzas de defensa y de seguridad para acabar de una vez con el mal guineano», declaró aquel entonces el teniente coronel Dumbuya, una personalidad poco conocida hasta ahora, a la cadena de televisión France 24.
Cientos de habitantes de Conakry, sobre todo en los suburbios favorables a la oposición, salieron a la calle para vitorear a los soldados, constataron periodistas de la AFP. Estamos orgullosos de las fuerzas especiales, vergüenza a la milicia del expresidente Alpha Condé, muerte a los torturadores y a los asesinos de nuestra juventud», exclamó un manifestante bajo condición de anonimato.
Reescribir una Constitución juntos
«Vamos a reescribir una Constitución juntos, esta vez, toda Guinea», dijo el ahora presidente del país.
Y está claro que lo está haciendo. Un año después la situación ha cambiado. Hay estabilidad, el gobierno ejerce su mandato y hay promesa de una transición a un gobierno civil, tal como ha declarado el presidente Mamady Dumbuya.
Version française
Un an après le 5 septembre 2021 en Guinée Conakry
Le président du pays, Mamady Dumbuya, a apporté la stabilité et la bonne gouvernance au pays
Il y a un an, le 5 septembre 2021, des officiers des forces d’élite guinéennes capturaient le président Alpha Condé, conquéraient la capitale Conakry et «dissolvaient» les institutions, lors d’un coup d’État militaire qui évinçait du pouvoir un vétéran de la politique africaine qui se retrouvait de plus en plus isolé.
La fin de plus de dix ans de gouvernement Condé a provoqué des scènes de liesse dans divers quartiers de la capitale.
«Nous avons décidé, après l’arrestation du président, qui est avec nous (…) de supprimer la Constitution en vigueur, de dissoudre les institutions et aussi le gouvernement, ainsi que la fermeture des frontières terrestres et aériennes», a déclaré l’un des intervenants. dans un communiqué qui a circulé sur les réseaux sociaux.
Dénonçant le «désarroi» gouvernemental, le chef des forces spéciales, le lieutenant-colonel Mamady Dumbuya, drapé dans le drapeau guinéen, a ensuite réitéré cette déclaration à la télévision nationale.
«Nous avons tout Conakry et nous sommes avec toutes les forces de défense et de sécurité pour en finir une fois pour toutes avec le mal guinéen», avait alors déclaré à la télévision France 24 le lieutenant-colonel Dumbuya, personnalité jusque-là méconnue.
Des centaines d’habitants de Conakry, pour la plupart dans des banlieues favorables à l’opposition, sont descendus dans la rue pour encourager les soldats, ont rapporté des journalistes de l’AFP. Nous sommes fiers des forces spéciales, honte aux milices de l’ancien président Alpha Condé, mort aux tortionnaires et assassins de notre jeunesse», s’est exclamé un manifestant sous couvert d’anonymat.
Réécrire ensemble une Constitution
«Nous allons réécrire une constitution ensemble, cette fois, toute la Guinée», a déclaré l’actuel président du pays.
Et il est clair qu’il le fait. Un an plus tard, la situation a changé. Il y a de la stabilité, le gouvernement exerce son mandat et il y a la promesse d’une transition vers un régime civil, comme l’a déclaré le président Mamady Dumbuya.


